S3

J15
Chez les parents de Simon.
Douche. Galette. Générosité.
Bluelephant music. Palais des Arts.
Kouign Amman.
Les valseuses.

J16-17-18
Vacances « forcées » à Vannes.
Cafés au port. Vélo. Presqu’île de Conleau.
Premiers coups de soleil.
Apéro au camion. Molkki. Pétanque. 1664.
Justines. Louise. Lucas. Gugu. Juliette.

J19
Réveil 5h. Gasoil.
Golfe du Morbihan. Locmariaquer à vélo.
Plage de Carnac. Les pieds dans l’eau.
Presqu’île de Quiberon. Côte sauvage.
Nuit à Port Blanc face au golfe.

J20
Bateau. Ile aux Moines.
Balade à vélo. Plages. Temps magnifique.
Direction Nantes retrouver Tom et Garance.
Foie gras. Magret aux fraises.
Ghost et mirabelle.

J21
You! restaurant.
Nantes à vélo avec Garance.
Trentemoult.
Time’s up et Uno. Tonio et CC.
Gratin de courgettes à 4h.

du dimanche 22/05/2016 au samedi 28/05/2016

S3

L’heure des comptes (2)

Questions récurrentes : « Combien ça t’a coûté ? »

Mécanique (voir : L’heure des comptes) : 3055€

Aménagement : 3170€

  • Isolation mousse polyuréthane projetée : 600€
  • Paroi PVC blanc : 200€
  • Plancher OSB vitrifié : 60€
  • Plafond feutrine et corde : 60€
  • Outillage, consommables, bois, etc : 1500€ (factures magasins de bricolage)
  • Receveur PVC douche (occasion) : 10€
  • Batterie, chargeur, convertisseur : 300€
  • Tissus, oeillets, ficelles, sandow : 200€
  • Matériel caravaning (pompes, barbecue pliant, adaptateurs divers,etc) : 200€
  • Autoradio : 40€

Et beaucoup de récup’ (merci la famille et les copains) :

  • Outillages et câbles élec
  • Evier inox, battant toilette
  • Coupleur séparateur de batterie
  • Fenêtres, châssis de toit
  • Sommier
  • Matelas
  • Haut-parleurs

Total : en considérant les quelques oublis moins de 7000€

L’heure des comptes (2)

Pages arrachées

A suivre sur franceculture.fr :

Pages arrachées à Nicolas Bouvier, la route pour l’Orient

Episode 1/5 : http://www.franceculture.fr/emissions/fictions-le-feuilleton/fictions-le-feuilleton-lundi-23-mai-2016

Tous deux allaient s’enfoncer vers l’Est, toujours plus avant, traversant la Yougoslavie, la Macédoine, l’Iran, l’Afghanistan. Thierry Vernet le quitta à ce moment. (…) Bouvier continuera seul le voyage : l’Inde, Ceylan, où il sombra dans la maladie et les hallucinations et le Japon qu’il aima au point de s’y implanter durablement et d’y retourner deux fois.(…) Etre nomade : une occupation rare à l’époque, réservée à quelques malheureux, et pas trop bien considérée à l’époque (1953). Quand il partit, Nicolas Bouvier quittait l’université, Genève et la Suisse, un territoire exigu et le carcan familial. Il quittait un milieu de bourgeois aisés, un père érudit, silencieux, dépressif, avec lequel, l’âge adulte venu, il s’entendit bien, une mère très cultivée, un peu raide, directive, qui elle ne le comprenait pas, une gouvernante prussienne terrifiante et sadique qui régentait la maison de ses grands-parents maternels, les belles demeures de l’été posées sur de longues pelouses, le cercle des connaissances célèbres, écrivains et musiciens, amis de son grand-père, qui était compositeur d’opéras, ou familiers de la bibliothèque où officiait son père. Il quittait une vie close, un peu surannée, marquée par la pruderie et la méfiance du corps, par l’influence judéo-chrétienne que l’expérience de l’Asie contribuera à effacer. Il partait loin des « alibis et des malédictions natales », d’un moralisme paralysant et d’une prudence dangereuse. Une fuite positive vers des choses dont il avait besoin. Et parce qu’il était prêt, ces choses se présentèrent à lui. Il avait le crâne bourré de ses lectures d’enfant, en tête desquelles venaient Stevenson, Jack London, James Oliver Curwood, Alexandre Dumas ou Jules verne, auteurs qui avaient inscrit en lui « l’impatience du monde ». Pas d’autres armes. Il s’en allait sans esprit de retour. La route. L’espace comme une drogue, l’immensité qui le saoulait de bonheur. Sans ce déplacement géographique, sans cet élan donné par le plaisir, sans cette liberté d’aller et venir, à laquelle correspondait une liberté intérieure, il n’aurait, dit-il, pas écrit. »

Christine Jordis

Extraits d’une préface à l’œuvre de Nicolas Bouvier (Quarto, Gallimard)

Pages arrachées

S2

J8
Les rues de Saint Brieuc. Grand soleil.
Retrouver par hasard la team de la veille.
Crêpes et cidre. Apéro. Apéro. Apéro.
Concerts. Frites. Concerts. After à la chapelle.
Rentrer sur les genoux.

J9
Même pas mal.
Route des falaises jusqu’à Paimpol.
Temps doux. Pointes magnifiques.
Respirer le parfum des fleurs.
Fin de journée sur la pointe de Guilben.

J10
Paimpol à Morlaix par la côte.
Silon de Talbert.
Couper la Bretagne. Direction Le Faou.
Se perdre dans le PNR d’Armorique.
Dormir au pied d’une église ruine du XVIe.

J11
Presqu’île de Crozon.
La côte de Landévannec. Cimetière à navires.
Voir Brest depuis la Pointe des anglais.
Le Cap des chèvres battu par les vents.
Port de Trégarvan au bord de l’Aulne.

J12
Longer l’Aulne.
Déjeuner à Locronan.
Le Guilvinec sous le crachin *** .
Retour des pêcheurs et expo photo en plein air.
Nuit à Concarneau face à l’océan.

J13
Concarneau. La ville close.
Retrouver Jézéquel à Vannes.
Le port. Le Daily Gourmand. Curios Paper.
Barbier. Effet moustache. Retrouver Rondot.
Finir aux Valseuses.

J14
Le marché aux poissons.
Fruits de mer chez Anne et Rondot.
Pénurie de carburant. Vacances « forcées ».
Visites du camtar.
Le vieux Safran. Le Djam. Les valseuses.

du dimanche 15/05/2016 au samedi 21/05/2016

S2

S1

J1
Foncer jusque Troyes.
Se perdre dans le PNR de la forêt d’Orient.
Il fait beau et chaud. Les villages sont beaux.
Halte à Lusigny-sur-Barse.
14h de sommeil.

J2
Suivre la D1.
Hameau Le Mareau. Confitures.
Casse-croûte confiture de figues et Chaource.
Il pleut. Les balais d’essuie-glaces HS.
Halte à Jargeau au bord de la Loire.

J3
Cours d’eau : Cosson, Loire, Indre et Vienne.
Les villages toujours aussi beaux. Les moulins.
L’abbaye de Fontevraud. Camille Tourneux.
Site incroyable. Projets fous.
Theilmann / La Machine / Fichtre / Monstre…

J4-5
Menuiserie et alpinisme.
Goudron de pin, huile de lin, oxyde de fer.
Mes chaussures sont mortes.
Mes vêtements sentent le goudron.
Soirée autour du feu dans le fumoir.

J6
Direction la Bretagne.
Premier auto-stopeur.
S’arrêter au pied du Mont Saint Michel.
Les agneaux des prés salés.
Coucher de soleil sur la baie.

J7
Huitres et muscadet sur le port de Cancale.
Balade à Dinard. Foncer à Saint Brieuc.
Retrouver Yann. Festival Art Rock.
Pass VIP. Concerts. Resto. Yann qui vomi.
Concerts. After à la chapelle.

du dimanche 08/05/2016 au samedi 14/05/2016

S1

Confitures

Première belle rencontre du parcours le lundi 9 mai au hameau le Mareau : Catherine Manoel et ses confitures.

pot

Et un beau pari : celui de faire faire le tour du monde à l’un de ses pots ! Avec au programme, une vente aux enchères dudit pot à son retour !

Affaire à suivre, en attendant allez faire un tour sur sa page facebook.

C’est par là : www.facebook.com/Comptoir-Des-Confitures-347582451972299/

 

Confitures

Parti

le dimanche 8 mai à 15h40 de Nancy.

La vieille je dis au revoir aux copains sous la Vebe, la portion entre la rue Oberlin et la rue du docteur Grandjean. Le lieu s’y prête à merveille. La fête est réussi. Encore merci les copains pour ce beau moment.

Le périple commence par la France en guise d’échauffement. Il s’agit d’éprouver le camion, finir son aménagement et organiser la vie à bord. Il est aussi question d’aller voir les copains de longues dates et la famille éparpillés un peu partout dans le pays. Et aussi de se tester un peu soi-même.

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Parti

Toilettes sèches vs Toilettes chimiques

Dans le camion, ce sera toilette sèche.

Mais pourquoi un tel choix alors qu’il existe des WC chimiques ?

 

  1. Le coût d’achat
    • 70 € le WC chimique
    • un seau à 5 € et de la récup’ pour la toilette sèche
  2.  Encombrement
    • équivalent
  3. Consommable
    • 3 produits (réservoir, chasse, entretien) : coûteux, chimique, difficile à se procurer
    • de la sciure
  4. Autonomie
    • réservoir de 17 litres
    • seau de 27 litres
  5. Evacuation
    • dans des containers spécifiques difficiles à trouver
    • compost, à la poubelle, dans la nature

Les points forts sont donc :

  1. Simple à fabriquer
  2. Peu coûteux : matériaux simples
  3. Fiable : pas de circuit d’eau, de pompe, de clapet, de joint, rien ne peut s’user ou tomber en panne
  4. Entretien facile
  5. Autonome : pas besoin de raccordement en eau ou électricité
  6. Ecologique : des matières, de la sciure et rien d’autre
  7. Compacte

Les points faibles :

  1. Il n’y en a pas, juste un frein au niveau des mentalités
Toilettes sèches vs Toilettes chimiques