Sábado BRUTAL

BRUTAL comme la crise de la cinquantaine de notre voisin Edouardo

BRUTAL comme un concert des Guns N’ Roses à Tokyo en 1992

BRUTAL comme le Traçadinho : 5L de vinho verde, 5L de SuperBock et du sucre

BRUTAL comme une casserole pleine de Raposeira qui passe de main en main

BRUTAL comme Manuel, 62 ans, qui peine à tenir debout, s’écroule sur le clic-clac et fini par vomir dans un seau

BRUTAL comme le pus qui est sorti de la bouche de Boris

BRUTAL comme ma décision de quitter Abject et de reprendre la route

BRUTAL comme mon envie irrésistible de coucher tout cela sur le papier

Sábado BRUTAL